
Alors que la smart city a longtemps été pensée comme une réponse technologique aux enjeux urbains, les voix s’élèvent pour défendre une autre vision : plus organique, plus résiliente, plus humaine.
Dans un article de la Revue Urbanisme, plusieurs acteurs de la fabrique urbaine plaident pour une ville moins technosolutionniste et davantage centrée sur la robustesse, l’appropriation citoyenne et la simplicité fonctionnelle.
🗨️ Pour Matthias NAVARRO, co-fondateur du groupe REDMAN : « la ville ne peut pas être dans une logique de performance pure, calquée sur les standards de l’industrie. Ce n’est pas une chaîne de production, c’est vivant, c’est complexe, c’est organique ! ».
Penser sobriété, résilience, usage et adaptabilité plutôt que performance à tout prix : une piste essentielle pour concevoir des territoires désirables et durables.
Un article de Lucie Romano à lire dans le dernier numéro de la Revue Urbanisme.