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De 29 chambres à 600, l’aventure SHG ne raconte pas simplement une croissance. Elle incarne une vision familiale et entrepreneuriale, portée par Antoine Falleur, et aujourd’hui transmise dans un cadre repensé, élargi, mais fidèle à l’essentiel.
Bertrand Pullès (EXTENDAM) nous explique que chaque transmission est unique, qu’il n’y a pas de recette universelle, mais un point de départ incontournable : des valeurs communes, véritables fondations d’un projet durable.
Jérôme Bosc – MRICS (ALBORAN | Hotels & Hospitality), de son côté, met l’accent sur l’humain. Ce sont les équipes, les parcours, les visages derrière chaque établissement qui font la force de ce projet. Et c’est ce même socle humain, couplé à une ambition locale et collective, qui porte l’élan vers Bourges 2028.
Ce que cette opération raconte :
→ Une passation construite dans la lucidité et la confiance.
→ Un ancrage local fort pour un territoire qui s’apprête à rayonner à l’échelle européenne.
→ Une dynamique entrepreneuriale collective, entre savoir-faire opérationnel, accompagnement stratégique et vision partagée.
Bourges, capitale européenne de la culture, se prépare à accueillir 1 million de touristes en 2028 et sera une vitrine exceptionnelle.
Ce portefeuille hôtelier rénové, restructuré, repensé, en sera l’un des piliers.
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Le lien de l’interview sur la chaine Hospitality ON
Dans son dernier article, Le monde de l’Energie décrypte l’essor du financement participatif dédié à la transition énergétique.
Avec une croissance de + 11,5 % en 2023, un rendement moyen de 6,6 % et un taux de défaut quasiment nul, ce modèle séduit de plus en plus d’épargnants désireux d’aligner convictions écologiques et placements financiers.
→ Parmi les plateformes mises en avant, Énergie Partagée se distingue par son modèle coopératif et sa volonté de remettre les citoyens au cœur des projets.
Acteur historique du crowdequity à impact, Énergie Partagée accompagne des initiatives locales à gouvernance partagée, qui visent une autonomie énergétique territoriale.
Une façon de financer la transition et d’y prendre part.
𝐀̀ 𝐏𝐚𝐫𝐢𝐬, 𝐥𝐚 𝐭𝐨𝐮𝐫 𝐑𝐚𝐜𝐢𝐧𝐞 𝐫𝐞𝐩𝐫𝐞𝐧𝐝 𝐯𝐢𝐞 𝐚𝐮𝐱 𝐜𝐨̂𝐭𝐞́𝐬 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐒𝐨𝐫𝐛𝐨𝐧𝐧𝐞 𝐍𝐨𝐮𝐯𝐞𝐥𝐥𝐞
Ancien siège de l’ONF, l’icone de l’architecture naturaliste des années 70 rénovée allie poésie et technique dans une architecture qui compose avec le déjà-là.
Grâce à cette restructuration, Racine endosse un nouveau rôle dans son quartier et devient un nouveau phare dans la ville.
La réhabilitation prend racine dans un sol plus fertile et s’élève désormais majestueusement vers le ciel.
Le travail de Maud Caubet s’est articulé sur plusieurs fondamentaux :
✔️𝐜𝐨𝐦𝐩𝐨𝐬𝐞𝐫 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐥𝐞 𝐝𝐞́𝐣𝐚̀–𝐥𝐚̀ : 𝐫𝐞́𝐢𝐧𝐯𝐞𝐬𝐭𝐢𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐬𝐨𝐮𝐬–𝐬𝐨𝐥𝐬 𝐞𝐧 𝐜𝐫𝐞́𝐚𝐧𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐞𝐬𝐩𝐚𝐜𝐞𝐬 𝐧𝐨𝐛𝐥𝐞𝐬.
La restructuration a initié la transformation de deux niveaux de parking en espaces utiles, qualitatifs, baignés de lumière naturelle.
✔️𝐜𝐫𝐞́𝐞𝐫 𝐮𝐧 𝐥𝐢𝐞𝐧 𝐮𝐫𝐛𝐚𝐢𝐧 𝐩𝐮𝐛𝐥𝐢𝐜 𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞 𝐝𝐞𝐮𝐱 𝐪𝐮𝐚𝐫𝐭𝐢𝐞𝐫𝐬
Racine est un bâtiment « lien » entre le boulevard de Saint Mandé et la rue de Picpus et en rétrocédant un nouvel espace public végétal à la ville
✔️𝐩𝐫𝐞́𝐟𝐢𝐠𝐮𝐫𝐞𝐫 𝐥𝐚 𝐫𝐞́𝐯𝐞𝐫𝐬𝐢𝐛𝐢𝐥𝐢𝐭𝐞́ 𝐝’𝐮𝐬𝐚𝐠𝐞𝐬
Bureaux, logements, hôtel… Racine pourra désormais s’adapter au fil de l’évolution des besoins du quartier sans gros oeuvre.
✔️𝐬’𝐞́𝐭𝐞𝐧𝐝𝐫𝐞 𝐯𝐞𝐫𝐬 𝐥𝐞 𝐜𝐢𝐞𝐥 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐮𝐧𝐞 𝐜𝐨𝐮𝐫𝐨𝐧𝐧𝐞 𝐛𝐢𝐨𝐜𝐥𝐢𝐦𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞
Une nouvelle couronne complète la toiture végétale de l’extension au sol et intègre une agriculture urbaine pédagogique. Ce nouvel espace, transparent et lumineux offre une vue unique sur les quartiers de Paris.
✔️𝐥𝐞 𝐫𝐞́𝐞𝐦𝐩𝐥𝐨𝐢 𝐞𝐭 𝐥’𝐚𝐫𝐭𝐢𝐬𝐚𝐧𝐚𝐭
4 tonnes de matériaux ont été récupérées, et remployées ex situ par des association d’ébénisterie. L’artisanat au service de la réparation. Le chantier a mobilisé le savoir-faire de multiples artisans spécialisés dans la restauration.
✔️𝐥𝐞 𝐯𝐞́𝐠𝐞́𝐭𝐚𝐥 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞 𝐥’𝐮𝐧𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐦𝐚𝐭𝐢𝐞̀𝐫𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞̀𝐫𝐞𝐬 𝐝𝐮 𝐬𝐢𝐭𝐞
Présent à chaque étage, le végétal utile apporte bien-être aux occupant comme il renforce l’îlot de fraicheur et de biodiversité qu’offre la parcelle au quartier.
📖 À lire dans l’article de Laurence Albert pour Les Echos
📸 crédits photo : Laurent Kronental