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Sur un site composé de 11 immeubles, dont certains sous arrêtés de péril, dans le cadre d’un contrat de promotion immobilière, Financière Saint James et REDMAN, aux côtés de DATA ARCHITECTES et THINK TANK architecture, ont réalisé une transformation d’envergure : plus de 10 000 m² mêlant bureaux, logements sociaux et commerces, dans le 10e arrondissement de Paris.
Pour Business Immo, Nicolas Decloquement, directeur général adjoint de REDMAN, Gregory Zeitoun, directeur de Financière Saint James, et Colin Reynier, cofondateur de l’agence DATA ARCHITECTES reviennent sur cette opération emblématique, menée dans un esprit de réemploi. Un travail mené main dans la main avec la Ville de Paris, dans le cadre d’un urbanisme négocié afin de répondre aux besoins du quartier aujourd’hui et demain.
🔎 Ce projet complexe est précurseur des principes du futur PLU bioclimatique de la Ville de Paris.
💬 « Nous avons su réinventer la relation investisseur/promoteur en allant au-delà des considérations juridiques et contractuelles pour partager les difficultés comme les réussites en tâchant d’être agiles dans un temps long » — Nicolas Decloquement, directeur général adjoint de REDMAN.
Lire l’interview de Luc-Etienne Rouillard Laffond dans Business Immo
À l’occasion de la 7ᵉ édition de La Fabrique du Tourisme, le groupe de réflexion porté par EXTENDAM, MKG Consulting et Bpifrance a exploré un sujet clé : l’IA peut-elle contribuer à une hôtellerie plus durable ?
Personnalisation de l’expérience client, optimisation énergétique, réduction des impacts F&B… L’intelligence artificielle ouvre de nouvelles perspectives pour le secteur hôtelier.
Comme le souligne Bertrand Pullès (EXTENDAM) : « Dans les années à venir, l’hôtellerie évoluera sous l’effet du big data et de l’IA, permettant non seulement une personnalisation accrue et une optimisation des services, mais également une meilleure appréhension des impacts environnementaux et sociaux ».
Une adoption progressive, des défis à relever, mais un potentiel fort pour réconcilier performance économique et responsabilité.
Dans Environnement Magazine, Sarah Cacoub, socio-économiste au sein du service Planification Énergétique, Prospective, Impacts et Territoires (PEPIT) de l’ADEME revient sur les dynamiques du financement citoyen de projets d’énergie renouvelable.
Deux approches complémentaires se distinguent :
🔹Le financement via plateformes (type crowdfunding),
🔹La gouvernance citoyenne portée localement, souvent via des sociétés de projet labellisées par Énergie Partagée.
Avec près de 400 projets labellisés, ce modèle permet une meilleure appropriation locale, une animation des territoires et la structuration d’un tissu économique ancré.
Un enjeu de taille aujourd’hui : changer d’échelle pour renforcer la résilience énergétique du pays.
Un article de Benoît Crépin à lire dans l’édition de mars d’Environnement Magazine