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Les Universités d’été de l’Economie de demain du Mouvement Impact France se sont tenues le 30 août à Paris et ont mobilisé plus d’un millier de personnes dont de nombreux experts, économistes, chefs d’entreprises, députés et ministres !  Des discussions diverses sur la sobriété, des propositions de mesures et d’actions ont pu émerger avec un mot d’ordre : le dérèglement climatique ne faisant qu’exacerber les injustices existantes, les efforts devront être justes pour être efficaces. Ces efforts, fondés sur le triptyque citoyens, Etat et entreprises, permettront de s’engager vers une sobriété plus durable.

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EXTENDAM acquiert son premier hôtel en Bretagne Sud. L’ibis Lorient Gare et ses 51 chambres connaîtront un grand programme de rénovation ainsi qu’une nouvelle stratégie de revenue management menée avec Céline Da Mota Filippi, professionnelle de l’hôtellerie depuis 2012 et heureuse propriétaire d’un hôtel qu’elle a entièrement repositionné à Saint-Brieuc.

« Une fois la rénovation de l’hôtel achevée, l’actif devrait connaître un nouveau dynamisme et déployer tout son potentiel pour atteindre un rythme de croisière en 2024. La Bretagne est une région où le tourisme de loisirs comme d’affaires poursuit une belle croissance et nous nous réjouissons de cette 2e acquisition dans la région », expliquent Inès Haack et Bertrand Pullès, en charge de l’investissement chez EXTENDAM.

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A 17h50, Eva Sadoun, co-présidente du Mouvement Impact France était l’invitée éco d’Isabelle Raymond sur franceinfo et donnait la tonalité de la 4e édition des Universités d’Eté de l’Economie de Demain débutant ce mardi 30 août à la Cité internationale universitaire de Paris sur le thème de la sobriété.

Une interview à revoir sur franceinfo TV

Dans une tribune publiée sur La Tribune, le Mouvement Impact France, des professionnels de la santé et une dizaine de responsables d’entreprises réaffirment le besoin de faire sobriété pour améliorer nos services de santé. En intégrant dans nos modes de vie de nouvelles façons de se déplacer, de se nourrir, de travailler et enfin de consommer, notre bien-être peut s’améliorer. Pour cela, nous ne pouvons pas repenser nos habitudes collectives par une somme d’actions individuelles. Les pouvoirs publics, les associations et les mutualistes doivent conjointement proposer un nouveau modèle, plus en accord avec les enjeux environnementaux, sanitaires et sociaux auxquels nous faisons face.

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